Y'a des lumières la nuit On boit des demi-citrons Et on s'photographie
"Do you always wait for the longest day of the year and then miss it ?"
(The Great Gatsby, Fitzgerald)
Elle m'a fait sourire, cette phrase, parce que c'est un peu ça, un peu vrai. Qu'on le guette, ce jour là, juste pour voir la différence, juste pour voir à quelle heure il fera vraiment noir, et même si c'est presque imperceptible, le changement avec la veille ou le lendemain, quand même, ça fait quelque chose.
Les "21 juin" se rappellent des pas dans les rues, des partitions au-dessus d'un orgue, des débuts d'été et des bières ; et en fait, c'est drôlement bizarre, parce que quand je pense au 21 juin, je pense à l'Irlande. Ce qui est absolument stupide puisque je n'y ai jamais mis les pieds au mois de juin. (Faudrait y remédier d'ailleurs, un d'ces quatre. Bref. Je dévie, là...). Donc. L'Irlande un 21 juin. En fait, ça devait être un 13 août ou quelque chose comme ça, mais on s'en fout, c'est pas ça qui compte.
Il y avait les percus qu'on entendait au loin et ce monsieur avec sa guitare et ses putains de yeux bleus, des bras qui se serraient et les gens qui s'arrêtaient peu à peu, je ne sais plus combien de temps on est restés, là, à l'écouter, vraiment, je ne sais plus ; il y a de ces souvenirs qu'on oublie, qu'on déforme et qu'on mélange, mais ça reste bien, toujours. Mon 21 juin à l'irlandaise avait les lumières de Dublin sur la Liffey, et des rires dans les rues de Temple Bar.
C'était pas la fête de la musique. Ca y ressemblait bien pourtant.
C'était pas le jour le plus long de l'année. On y aurait presque cru.
Mes "21 juin", les vrais, se racontent sur les quais, dans les ruelles du Vieux-Lyon, mes "21 juin" sont toujours trop courts, et si vous pouviez m'expliquer comment ça s'fait...
En fait, le plus long jour de l'année, c'est bien. Mais quand même, si y'en avait plusieurs, ce serait mieux.
(The Great Gatsby, Fitzgerald)
Elle m'a fait sourire, cette phrase, parce que c'est un peu ça, un peu vrai. Qu'on le guette, ce jour là, juste pour voir la différence, juste pour voir à quelle heure il fera vraiment noir, et même si c'est presque imperceptible, le changement avec la veille ou le lendemain, quand même, ça fait quelque chose.
Les "21 juin" se rappellent des pas dans les rues, des partitions au-dessus d'un orgue, des débuts d'été et des bières ; et en fait, c'est drôlement bizarre, parce que quand je pense au 21 juin, je pense à l'Irlande. Ce qui est absolument stupide puisque je n'y ai jamais mis les pieds au mois de juin. (Faudrait y remédier d'ailleurs, un d'ces quatre. Bref. Je dévie, là...). Donc. L'Irlande un 21 juin. En fait, ça devait être un 13 août ou quelque chose comme ça, mais on s'en fout, c'est pas ça qui compte.
Il y avait les percus qu'on entendait au loin et ce monsieur avec sa guitare et ses putains de yeux bleus, des bras qui se serraient et les gens qui s'arrêtaient peu à peu, je ne sais plus combien de temps on est restés, là, à l'écouter, vraiment, je ne sais plus ; il y a de ces souvenirs qu'on oublie, qu'on déforme et qu'on mélange, mais ça reste bien, toujours. Mon 21 juin à l'irlandaise avait les lumières de Dublin sur la Liffey, et des rires dans les rues de Temple Bar.
C'était pas la fête de la musique. Ca y ressemblait bien pourtant.
C'était pas le jour le plus long de l'année. On y aurait presque cru.
Mes "21 juin", les vrais, se racontent sur les quais, dans les ruelles du Vieux-Lyon, mes "21 juin" sont toujours trop courts, et si vous pouviez m'expliquer comment ça s'fait...
En fait, le plus long jour de l'année, c'est bien. Mais quand même, si y'en avait plusieurs, ce serait mieux.
1 na na na na
'l'est beau, ce post, Mélie. *:)*
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